Mettre un enfant au monde, c’est croire en quelque chose. Faire baptiser votre enfant, c’est croire en la vie, en l’homme, en Jésus-Christ…

Les 3 parcours ont été vécus de manière unifiée sur l’ensemble du secteur alternant rencontres communes et activités par paroisse. Autour des équipes de « base », beaucoup de parents se sont engagés généreusement de Revereulaz à Port-Valais. Nous les remercions ici très chaleureusement.

L’Eucharistie ou la Communion est un des sept sacrements de l’Église Catholique. On parle de Première Communion la première fois qu’une personne baptisée communie au cours de la célébration de l’Eucharistie (aussi appelée messe). Communier est le fait de manger le corps du Christ ou de boire le sang du Christ au cours de l’Eucharistie. Les catholiques professent la présence réelle du Christ, en son corps et son sang, sous les apparences (« espèces ») du pain et du vin, consacrés par le prêtre pendant la messe. C’est le mystère de la transsubstantiation.

Pour un catholique, la Première Communion est un grand jour de fête. C’est la première fois qu’une personne adore et mange le « Pain de Vie ».

Par la confirmation les jeunes prennent sur eux la promesse que leurs parents ont faite lors de leur baptême. Ils deviennent ainsi membres à part entière de la communauté paroissiale.
« L’alliance matrimoniale, par laquelle un homme et une femme constituent entre eux une communauté de toute la vie, ordonnée par son caractère naturel au bien des conjoints ainsi qu’à la génération et à l’éducation des enfants, a été élevée entre baptisés par le Christ Seigneur à la dignité de sacrement. »
Le catéchuménat est le temps proposé dans l’Église catholique aux adultes qui désirent devenir chrétiens en se préparant à recevoir les « sacrements de l’initiation chrétienne » : le baptême, la confirmation et l’Eucharistie.

Le sacrement des malades a pour but de donner une aide spéciale au chrétien confronté aux difficultés d’une maladie grave ou de la vieillesse.

Le chrétien peut recevoir le sacrement des malades chaque fois qu’il est atteint d’une grave maladie.

C’est le sacrement de la présence du Seigneur à nos côtés dans les moments d’épreuve que sont la maladie ou la vieillesse.